Qui dit expatriation dit compte bancaire… Que faire, alors, lorsqu’on n’est pas polyglotte? Difficile de comprendre les factures en anglais, sans compter l’ouverture d’un compte et le suivi des frais mensuels…. Heureusement, des solutions existent ! Il y a vingt cinq ans, plusieurs banques canadiennes ont décider de s’implanter en Floride. L’objectif principal était de se développée là  où les «snowbirds» – les Québecois qui fuient un hiver rude – se sont progressivement installés.

Les Québécois ont un point commun avec les New-Yorkais : ils exècrent l’hiver. C’est la raison pour laquelle nombre d’entre eux, à  raison de trois à  six mois par an, s’installent en Floride, au climat tropical et clément. Une fois leur carrière achevée, certains décident même d’y passer leur retraite.
Pour les banques québécoises, la Floride s’est imposée comme un choix logique d’implantation – l’état compte le plus de Canadiens aux Etats-Unis, soit 150 000 résidents.
Terre de brassage – plus de la moitié de la population parle espagnole, et l’Etat compte la troisième plus grande communauté française du pays, les banques Canadiennes ont donc progressivement diversifié leurs services.
«Notre banque a été crée initialement pour rendre service aux Canadiens, mais assez rapidement la clientèle s’est élargit», se souvient un responsable d’une de ces banques.

D’une poignée de Québécois, les banques Canadiennes ont commencé à  s’occuper d’italiens, de français et d’anglais. Ces banques comptent désormais plusieurs dizaines de milliers de clients aux Etats-Unis.
D’ailleurs, les sites internets ainsi que les brochures sont disponibles en Français et les conseillers sont tous bilingues.
Aujourd’hui, les banques Canadienne comptent des bureaux principalement sur la cote est de Floride : notamment dans les villes de Boyton Beach, Hallandale,  Pompano Beach et Hollywood. Cette dernière, ville maritime aux plages de sable fin, est considérée comme la capitale des Québécois en Floride.
La communauté française est également très implantée en Floride : c’est la troisième destination préférée des expatriés tricolores après New York et San Francisco ! Une raison de plus pour les banques Québécoises de s’installer en Floride. «Nous sommes conscients d’avoir des clients francophones voyageurs. Avant certains d’entre eux venaient passer la moitié de l’année en Floride, mais avec l’avènement des low-costs, la plupart de nos clients viennent passer  désormais deux trimestres séparés».

Conscient d’avoir une clientèle mondiale globalisée, les responsables de ces banques s’efforcent de faciliter les interfaces: «Non seulement nous avons des conseillers trilingues, mais les informations sont disponibles en plusieurs langues.»
L’objectif : faciliter l’expérience d’un client en ligne. Ce dernier peut également accéder, avec son compte, à  un réseau  de professionnels francophones et français qui viendront aider les clients dans leur évolution. «On peut prendre en charge le client et de différents de milieux.», conclut le CEO d’une de ces banques.
Certaine de ces banques  sont centenaires et ont réussi le pari d’accompagner des milliers de Français aux Etats-Unis.

A lire: Les meilleures villes ou investir aux Etats-Unis 

Qui dit expatriation dit compte bancaire… Que faire, alors, lorsqu’on n’est pas polyglotte? Difficile de comprendre les factures en anglais, sans compter l’ouverture d’un compte et le suivi des frais mensuels…. Heureusement, des solutions existent ! Il y a vingt cinq ans, plusieurs banques canadiennes ont décider de s’implanter en Floride. L’objectif principal était de se développée là  où les «snowbirds» – les Québecois qui fuient un hiver rude – se sont progressivement installés.

Les Québécois ont un point commun avec les New-Yorkais : ils exècrent l’hiver. C’est la raison pour laquelle nombre d’entre eux, à  raison de trois à  six mois par an, s’installent en Floride, au climat tropical et clément. Une fois leur carrière achevée, certains décident même d’y passer leur retraite.
Pour les banques québécoises, la Floride s’est imposée comme un choix logique d’implantation – l’état compte le plus de Canadiens aux Etats-Unis, soit 150 000 résidents.
Terre de brassage – plus de la moitié de la population parle espagnole, et l’Etat compte la troisième plus grande communauté française du pays, les banques Canadiennes ont donc progressivement diversifié leurs services.
«Notre banque a été crée initialement pour rendre service aux Canadiens, mais assez rapidement la clientèle s’est élargit», se souvient un responsable d’une de ces banques.

D’une poignée de Québécois, les banques Canadiennes ont commencé à  s’occuper d’italiens, de français et d’anglais. Ces banques comptent désormais plusieurs dizaines de milliers de clients aux Etats-Unis.
D’ailleurs, les sites internets ainsi que les brochures sont disponibles en Français et les conseillers sont tous bilingues.
Aujourd’hui, les banques Canadienne comptent des bureaux principalement sur la cote est de Floride : notamment dans les villes de Boyton Beach, Hallandale,  Pompano Beach et Hollywood. Cette dernière, ville maritime aux plages de sable fin, est considérée comme la capitale des Québécois en Floride.
La communauté française est également très implantée en Floride : c’est la troisième destination préférée des expatriés tricolores après New York et San Francisco ! Une raison de plus pour les banques Québécoises de s’installer en Floride. «Nous sommes conscients d’avoir des clients francophones voyageurs. Avant certains d’entre eux venaient passer la moitié de l’année en Floride, mais avec l’avènement des low-costs, la plupart de nos clients viennent passer  désormais deux trimestres séparés».

Conscient d’avoir une clientèle mondiale globalisée, les responsables de ces banques s’efforcent de faciliter les interfaces: «Non seulement nous avons des conseillers trilingues, mais les informations sont disponibles en plusieurs langues.»
L’objectif : faciliter l’expérience d’un client en ligne. Ce dernier peut également accéder, avec son compte, à  un réseau  de professionnels francophones et français qui viendront aider les clients dans leur évolution. «On peut prendre en charge le client et de différents de milieux.», conclut le CEO d’une de ces banques.
Certaine de ces banques  sont centenaires et ont réussi le pari d’accompagner des milliers de Français aux Etats-Unis.

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Qui dit expatriation dit compte bancaire… Que faire, alors, lorsqu’on n’est pas polyglotte? Difficile de comprendre les factures en anglais, sans compter l’ouverture d’un compte et le suivi des frais mensuels…. Heureusement, des solutions existent ! Il y a vingt cinq ans, plusieurs banques canadiennes ont décider de s’implanter en Floride. L’objectif principal était de se développée là  où les «snowbirds» – les Québecois qui fuient un hiver rude – se sont progressivement installés.

Les Québécois ont un point commun avec les New-Yorkais : ils exècrent l’hiver. C’est la raison pour laquelle nombre d’entre eux, à  raison de trois à  six mois par an, s’installent en Floride, au climat tropical et clément. Une fois leur carrière achevée, certains décident même d’y passer leur retraite.
Pour les banques québécoises, la Floride s’est imposée comme un choix logique d’implantation – l’état compte le plus de Canadiens aux Etats-Unis, soit 150 000 résidents.
Terre de brassage – plus de la moitié de la population parle espagnole, et l’Etat compte la troisième plus grande communauté française du pays, les banques Canadiennes ont donc progressivement diversifié leurs services.
«Notre banque a été crée initialement pour rendre service aux Canadiens, mais assez rapidement la clientèle s’est élargit», se souvient un responsable d’une de ces banques.

D’une poignée de Québécois, les banques Canadiennes ont commencé à  s’occuper d’italiens, de français et d’anglais. Ces banques comptent désormais plusieurs dizaines de milliers de clients aux Etats-Unis.
D’ailleurs, les sites internets ainsi que les brochures sont disponibles en Français et les conseillers sont tous bilingues.
Aujourd’hui, les banques Canadienne comptent des bureaux principalement sur la cote est de Floride : notamment dans les villes de Boyton Beach, Hallandale,  Pompano Beach et Hollywood. Cette dernière, ville maritime aux plages de sable fin, est considérée comme la capitale des Québécois en Floride.
La communauté française est également très implantée en Floride : c’est la troisième destination préférée des expatriés tricolores après New York et San Francisco ! Une raison de plus pour les banques Québécoises de s’installer en Floride. «Nous sommes conscients d’avoir des clients francophones voyageurs. Avant certains d’entre eux venaient passer la moitié de l’année en Floride, mais avec l’avènement des low-costs, la plupart de nos clients viennent passer  désormais deux trimestres séparés».

Conscient d’avoir une clientèle mondiale globalisée, les responsables de ces banques s’efforcent de faciliter les interfaces: «Non seulement nous avons des conseillers trilingues, mais les informations sont disponibles en plusieurs langues.»
L’objectif : faciliter l’expérience d’un client en ligne. Ce dernier peut également accéder, avec son compte, à  un réseau  de professionnels francophones et français qui viendront aider les clients dans leur évolution. «On peut prendre en charge le client et de différents de milieux.», conclut le CEO d’une de ces banques.
Certaine de ces banques  sont centenaires et ont réussi le pari d’accompagner des milliers de Français aux Etats-Unis.

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